Pour suivre cette formule d’apprentissage, plusieurs conditions doivent être réunies :

– Avoir 18 ans minimum, avoir réussi l’épreuve théorique générale de l’examen du permis de conduire, avoir réussi l’évaluation de fin de formation initiale et avoir participé à un rendez-vous préalable avec l’enseignant de la conduite, en présence de l’accompagnateur.

– Suivre au moins un rendez-vous pédagogique, en présence de l’accompagnateur.

– L’accompagnateur doit être titulaire, depuis au moins cinq ans sans interruption, du permis de conduire correspondant à la catégorie du véhicule utilisé.

Elle comprend 2 phases :

– Une première phase de formation initiale en école de conduite.
– Une seconde phase d’acquisition d’expérience de la conduite avec un ou plusieurs accompagnateurs.

Le choix de la conduite supervisée peut se faire lors de la conclusion du contrat, soit en fin de formation initiale ou encore après échec à l’épreuve pratique de l’examen du permis de conduire.

Les avantages de la conduite supervisée :
– Moins contraignante que l’AAC, la conduite supervisée n’est par contre possible qu’à partir de 18 ans. Elle n’impose pas de nombre de kms minimum (3000 en AAC), ni de période minimum (1 an en AAC).
– Cela vous aidera beaucoup si votre fin de formation est particulièrement difficile. L’aisance au volet tarde à venir, les manoeuvres sont un peu longues et l’anticipation pas toujours au rendez-vous.
– L’expérience d’un accompagnateur vous permettra de vous perfectionner à moindre frais et vos chances de réussite à l’examen s’en verront augmentées.